Dressage et humiliation de Lolla la pute

J'arrive au mur des "un mois de chasteté".

Mon Epouse ne me traie pas et le désir contrarié arrive à  cet instant à des sommets.

 

Ma petite nouille reste mouillante en permanence, le moindre contact vient la stimuler et exacerber les sensations d'enfermement. C'est à la fois doux et insupportable.

 

    A plusieurs reprises hier, ma Femme m'a laissé entendre que j'allais avoir droit à mon coït numbé, et finalement rien!!

Chauffée à blanc, cette nuit, impossible d'en dormir. 

Alors j'ai craqué!

Avec désespérance, j'ai pris des mesures pour calmer les appels de ma nouille.

 

Avec beaucoup de difficultés, je suis arrivée à décalotter le gland en glissant mes doigts au travers les barreaux de la cage et en tentant de tirer sur la peau du prépuce (les barreaux sont serrés et ce n'est pas facile).

Puis je suis parvenue à mettre un peu de crème de numbing.

 

Ouf... les sensations se sont apaisées et j'ai pu dormir!

Quand est-ce que viendra l'éjaculation nocturne spontanée libératrice?? 

 

PS : Est-ce que l'un ou l'une d'entre vous devine pour quelle raison j'ai intitulé cet article "le mur du çon"?

 

Mer 4 avr 2012 2 commentaires
Bravo pour votre évocation de ce que vous éprouvez après ces interminables semaines d'encagement sans libérations ! je ne saurais mieux dire: " Ma petite nouille reste mouillante en permanence, le moindre contact vient stimuler et exacerber les sensations d'enfermement. C'est à la fois doux et insupportable ." Je vous cite intégralement car c'est exactement ce qui se passe pour moi, avec en plus cette nécessité de cacher, autant que faire se peut, le détestable écoulement séminal qui suinte en permanence au bout de mon gland, sorte de morve visqueuse qui pend en filaments, sous l'effet de l'excitation brimée, et qui me vaut à l'occasion -comme si l'humiliation ne suffisait pas- des fessées au paddle. Je viens de franchir le cap du mois d'enfermement, et comme vous, j'en suis à espérer "une pollution nocturne" incontrolable...incontrôlée . Elle me vaudrait une punition en cas de découverte, mais je ne suis plus vraiment à ça près ! Si vous n'y voyez pas d'inconvénient, je compte utiliser mot à mot la citation de vous que j'ai reprise ci-dessus, car je vais raconter aujourd'hui ou demain dans mon blog les affres du déni d'orgasme, lorsqu'il atteint un palier significatif ( le mois ) comme c'est mon cas présentement... Mais je compte bien faire référence à votre blog alors !Je vous souhaite une bonne journée . Bien cordialement
erog - le 21/05/2012 à 10h14
PS : Non ! pour ma part votre titre " le mur du çon " est un mystère ! ... je ne trouve rien ! ... mais sans doute ne vous connais je pas assez encore.
jip.pet ( erog)
erog - le 21/05/2012 à 10h16

Allez je me dévoile. Le "mur du çon " s'inspire du "mur du son" qui est longtemps resté infranchissable (ça je pense que vous l'aviez compris). Et le "çon" voulait faire penser au con de mon épouse qui m'est désormais interdit.

je sais un peu tiré par les cheveux, mais bon, on a parfois aussi le droit d'être un peu çon!

Dressage et humiliation de Lola la pute