Dressage et humiliation de Lolla la pute

 Femme dans la tête et homme dans son corps, voilà un dilemme bien connu des lopettes, mais combien parfois difficile à vivre.  

 

  Cela a longtemps été le cas avec ma pilosité (je dois vous avouer que dans l'attente de l'aboutissement de ma dépilation, cela l'est encore)!

Je suis (j'étais!!!!!!)  un homme velu avec des poils abondants, longs, noirs et partout présents (beurk!!).  

 

Toutes les personnes de mon environnement me connaissent ainsi.  

Ce n'est pas la moindre des difficultés à affronter aujourd'hui.

 

Ce qui a changé c'est, qu'aujourd'hui, par amour pour Maîtresse, je suis prête à affronter leurs regards (parfois lourds de commentaires....).

Il va falloir qu'ils s'habituent à me savoir (et voir) lisse et épilée!

 

 

 

C'était avec ma précédente Compagne, il y a une dizaine d'années, que pour la première fois j'étais passée à l'acte : j'avais tenté de m'épiler complètement.

 

Tenté, parce qu'ignorante, j'avais utilisé son kit de cire sans raccourcir les poils au préalable.

 

Tenté, parce qu'il est arrivé ce qui devait alors arriver :

   A un moment je me suis retrouvée dans l'incapacité de m'arracher plus longtemps les poils (à cause de la douleur)...  

 

Je suis restée plusieurs heures avec une grande (trop grande) plaque de cire durcie sur la poitrine. Penaud, Il a fallu que j'attende que ma Compagne d'alors rentre du boulot et qu'elle prenne les choses en main.

Je craignais ses commentaires, mais bien que très étonnée, Elle ne s'est pas montrée plus acerbe que cela. 

 

Tenté, parce que j'ai été bien évidemment confrontée au problème d'une repousse rapide accompagnée des démangeaisons qui vont avec.

 

Tenté, parce qu'il n'y eut pas de récidive.

Fin de l'expérience!

 

 

 

 

 

PS :

Ne pouvant résister plus longtemps au plaisir de me savoir quelque part glabre, de temps en temps, il m'arrivait quand même de m'épiler le pubis.J'en avais d'autant plus envie, que ma Compagne d'alors, n'était pas indifférente au plaisir de me dominer et que c'était souvent le signal de départ d'une série de jeux (quel dommage que d'autres aspects de notre vie commune nous ait séparés...).