Dressage et humiliation de Lolla la pute
Dans l'article précédent, intitulé Rencontre décisive? , je vous ai fait part de l'acceptation
par Maîtresse Estelle de faire un essai avec moi.
En voici le récit (dans ses grandes lignes)
Elle m'a donc donné rendez-vous un après-midi à l'hôtel M, hôtel plus ou moins spécialisé dans les rencontres discrètes (situé en bas de la Gineste, pour ceux qui connaissent).
Je devais louer un chalet, et l'attendre en tenue.
Vous vous doutez que c'est toute tremblante que je me suis rendue à ce rendez-vous (à la fois très excitée et un peu inquiète). Le peu de chats que nous avons échangé m'a laissé entrevoir une personne expérimentée, exigeante et mystérieuse...
Cest fébrilement que je me présente devant l'hôtesse d'accueil,
c'est avec les jambes flaginolantes que je me rends au chalet
c'est de plus en plus excitée que je me déshabille pour mettre mes habits de pute en attente d'extase.
Cest une Femme, belle, élancée et sexy que je vois entrer
Je me jette à ses pieds et embrasse ses escarpins.
"Mes hommages Maîtresse" susurrai-je, la voix coupée par la tension.
( J'ai le coeur qui bat la chamade!...)
Elle me fait me relever, et m'examine en me faisant tourner sur moi-même avec sa cravache (Elle l'avait en main en rentrant, mais subjuguée par sa beauté et sa prestance, je ne l'avais même pas remarquée).
Elle lance un "hummm....bon....bien..."
"Alors comme ça, tu serais prêt à devenir mon esclave si je te le demandais, c'est bien ça?"
"Oui, Maîtresse!" réponds-je en tentant d'affermir ma voix.
"A quatre pattes sur le lit"
Je grimpe sur le lit, je m'agenouille et m'installe en gardant les jambes bien écartées pour lui montrer que je ne suis pas sans éducation.
J'entends des bruits de chaîne...
Ce n'est pas sans appréhension que je les entends tinter. Je me demande bien ce qui m'attends et je lutte contre une inquiétude qui se fait jour dans mon esprit. Je ne la connais à peine et il semblerait qu'elle veuille déjà m'attacher. Et ensuite, Elle va faire quoi?
Elle me lance des entraves de poignet en cuir rouge et m'ordonne "en attendant, tu vas commencer par mettre ça!" me lance t-Elle!
Très fébrile comme à mon habitude, c'est maladroitement que je m'emprisonne les poignets. Je m'en veux parce que je ne voudrais pas passer pour une demeurée dont on ne peut rien tirer. "C'est ton examen de passage, applique-toi merde!" me dis-je tandis que Maîtresse Estelle s'affaire au niveau de mes chevilles qui sont en train de subir le même sort. Puis Elle m'équipe d'un collier en cuir et y attache une laisse en chaine.
Elle s'assoit et tire sur mon collier ce qui m'amène à ses pieds.
Elle tend sa jambe droite.
En bon soumis, je sais ce qu'il me reste à faire : honorer ses pieds chaussés et ses belles jambes gainées par des bas nylon accordés à la couleur de sa robe.
C'est un bonheur de sentir les fibres de nylon sous mes lèvres....
Elle me demande d'enlever ses chaussures, ce qui me permet d'embrasser ses divins pieds délicats.
"Enlève mes bas!"
J'ai l'honneur de monter mes mains jusqu'en haut de ses cuisses et d'en faire descendre délicatement ses dim-up!
Je m'applique pour ne pas risquer de la pincer ou d'abîmer ses bas de qualité.
Je prends mon temps aussi... je savoure l'instant...je goûte le doux grain de sa peau sous mes doigts.
"Bien...allez à quatre patte sur le lit"
Elle utilise sa badine et teste ma résistance tout en me précisant qu'Elle n'est pas une dominante Hard.
Il me faut compter les coups et à chaque fois que je me trompe, Elle recommence.
Croyez que je me mets rapidement à être attentive (et pas seulement aux cuisantes morsures).
Elle profite de ma position à quatre pattes pour s'intéresser également à ma chatte.
Maîtresse Estelle évalue, visiblement en connaisseuse, sa souplesse et sa disponibilité.
"tu sembles un peu serrée. Il faudra m'arranger ça!"
Elle m'introduit un plug, qu'elle fait aller et venir dans un premier temps avant de le laisser en place.
Elle me demande de se déplacer et s'allonge sur le lit,puis écarte les jambes.
Je suis au premier rang et je ne peux m'empêcher de reluquer Sa culotte et ce qu'elle contient...
J'ai deviné que j'allais avoir le privilège de La goûter.
J'attends qu'Elle me l'ordonne.
Elle me fait venir à proximité en tirant un coup sec sur la laisse!
Me voyant en place, Maîtresse Estelle descend un peu sa culotte pour en sortir son précieux.
Je remarque qu'il est d'une grosseur remarquable et que son pubis présente une petite touffe délicatement taillée en ticket de métro. C'est à son image c'est à dire raffiné et classieux .
Je m'applique à lui montrer que je suis une bonne putain gourmande et attentive.
Elle m'ordonne de rester impassible (ce qui m'est difficile surtout quand Elle m'appuie sur la tête pour faire de moi une gorge profonde).
"Il va falloir que tu t'entraines, si tu veux devenir réellement une putain!" me lance t-elle.
Au fond de moi, je suis certaine que j'y arriverai. Il me suffira de parvenir à désirer suffisament cet "objet-là", au fond de ma gorge. Je le sais, je le sens.
En attendant, des hauts le coeur me font, je dois l'avouer, manquer d'élégance.
"Pourvu qu'Elle ne m'en tienne pas rigueur et ne me juge pas comme inapte à satisfaire correctement ses désirs et envies..." me dis-je
Croyez que j'y mets toute ma science et mon énergie!
Je parviens à obtenir son éjaculation dans ma bouche. Je sens Son nectar jaillir, chaud... salé...pour tout dire délicieux
"Allonge-toi et tourne-toi"
Maîtresse Estelle monte alors à califourchon sur mon visage. Elle me présente ses couilles, son périnée, sa rondelle à lécher.
Elle finit par s'assoir carrément sur mon visage et j'ai par moment du mal à reprendre mon souffle.
Elle "m'invite" à me mettre à nouveau à quatre pattes au bord du lit.
Elle prend mes poignets et les relie à mes chevilles à l'aide des entraves en cuir qui visiblement son faites pour ça.
Je me retrouve, le cul en l'air, totalement exposé.
Elle m'encule à plusieurs reprises (il me semble qu'Elle le fait au moins une fois avec son membre, puis avec un god-ceinture de diamètre plus fort que j'aurai l'occasion de voir ensuite sur la table de chevet).
Au départ, et je n'ai pas besoin d'être poussée, j'exprime tout le plaisir d'être prise dans cette position. Ma chatte avide se tend vers l'objet de ses désirs, elle en veut en elle, au fond, tout au fond. Mon cul s'agite de plus en plus pour se satisfaire.
C'est tellement bon, que je ne peux retenir halètements, râles, soupirs...
Un ordre jaillit d'un coup sec :"NE BOUGE PAS!!!"
Je comprends.
Je comprends qu'Elle me veut trou à bites, objet qui reçoit, objet qu'on encule mais en aucun cas sujet qui ondule.
Une sorte de poupée gonflable mais en beaucoup plus chaud, doux et accueillant.
Apparemement il me faudra dorénavant être ce à quoi depuis longtemps j'aspire :
être deux trous sur pattes!
Inutile de vous dire qu'Elle m'a conquise!!!!
Je suis surprise qu'Elle me demande ensuite d'oter la cage.Un trou à bites peut-il être actif?
En tout cas, je ne pense pas être en capacité d'y parvenir. Ce n'est pas pour rien que je porte une cage de chasteté depuis si longtemps.
Elle insiste et essaye de me faire bander en prenant à pleine main mon sexe qu'elle tire fortement en arrière, et branle derechef.
Elle semble déçue du peu d'effet que cela semble me faire (semble parce qu'à l'intérieur je savoure chaque contact, chaque aller et venue)
Je me sens obligée de lui glisser qu'en bonne femelle, je suis une mouillleuse et que du coup je ne bande pas.
"C'est ce qu'on va voir!!
branle-toi, salope, allez!"
"et je t'interdis d'aller jusqu'à l'éjaculation, tu m'entends!"
"Oui, Maîtresse."
Je me secoue la nouille qui au début reste effectivement insensible à mes sollicitations. Mais tout le monde sait que quand on le fait soi-même, on n'arrive toujours à en tirer quelque chose. Il suffit d'être un peu attentif (C'est une question de sollicitations appropriées à partir des ressentis). Du coup, mon clito se dresse et demeure en extrême attente.
Je trouve ce moment très humiliant (et à ce titre croyez que je vais particulièrement le goûter par la suite lorsque je repenserai à cette séance).
Mais le plus humiliant ne sera finalement pas là.
Le moment le plus humiliant a été le bouquet final!
Vous avez deviné ce que Maîtresse Estelle a exigé?
Oui, c'est bien ça.
et jusqu'à la dernière goutte!