Dressage et humiliation de Lolla la pute
La ceinture de chasteté ? Un délice pour le dominant et...le soumis !
Le titre de l’article vous dit tout, mais je vais en préciser les différents aspects.
Elle fait goûter au soumis l'appartenance à temps plein par ses 5 sens :
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L’ouïe
le bruit du plastique quand on l’assemble, et du cadenas « plastique » qui tinte à chaque pas quand on a le sexe à l’air.
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L’odorat
Au bout d’un moment les sécrétions et un peu d’urine restant piégées dans le conduit embaument. Les sécrétions sont relativement abondantes, car hormis l'excitation, la peau du prépuce bouge
un peu à chaque mouvement et stimuler leur production.
Il n'est pas rare qu'au bout de quelques heures des effluves de « crevette » montent . Le soumis les sent en position assise, et
craint d'être senti quand il est environnée de personnes.
· La vue
Je trouve le port de la ceinture de chasteté à la fois beau et avilissant.
Le port à demeure de la cage implique une crainte d'être vu et amène à prendre en permanence des précautions.
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La gustation
J’avoue que quand je vois de la mouille filer, je ne peux m’empêcher de la recueillir et de la sucer.
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Le toucher
C’est le sens sollicité par excellence!
La verge qui bouge dans son conduit, les testicules plaquées contre le conduit et tirées en avant par le poids de la verge, l’anneau qui vient enserré le sexe à sa base, le frottement des
testicules sur les jambes, le poids de l’ensemble qui, compact, va et vient d’un bloc quand on est nu, la compression du pantalon, la verge comprimée lors d'une bandaison, les bandaisons
nocturnes, etc…
Je crois que la liste pourrait être infinie.
Et un sixième sens : celui de la soumission
- Le port de la cage de chasteté en lui-même qui signe l’appartenance et l'abandon de toute virilité;
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Ne pas être un homme :
Désormais quand je regarde les hommes autour de moi, j’ai pleinement conscience de ne plus en être un ; - Etre un eunuque qui ne serait même pas capable d’honorer sa Femme si sa Maîtresse ne l’avait autorisé ;
- Faire le même bruit qu’une femme lors de la miction (quasi), et être obligé de s’essuyer après sous peine de maculer ses vêtements de gouttes d’urine;
- Les bandaisons nocturnes qui, mélange de plaisirs et de douleurs, vous réveillent la nuit;
- La douleur quasi omniprésente liée aux points de compressions de la cage sur la peau du pénis ou des couilles. Elle est variable en intensité selon notre position, les réglages de la cage, etc., mais elle n'est jamais bien loin.
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Ainsi, impossible
d'oublier son appartenanceet sa soumission, car toutes ces sensations produisent un melting-pot variant sans cesse!
ALORS OUI VRAIMENT, L’ESSAYER C’EST L’ADOPTER!
PS : Je vous invite à me faire part d'autre vécu par l'intermédiaire de vos commentaires