Un rendez-vous impromptu, mais combien délicieux !
"la mise en page de ton code d'obéissance "au doigt et à l'oeil attendra un peu. tu vas réserver une
chambre pour nous deux à l'hôtel ... en précisant que tu souhaites l'avoir dans l'annexe et que tu comptes arriver tôt demain matin
;
tu M'y attendras dès 9h, en petite tenue, cagoulée et complètement aveuglée, à
genoux, mains derrière la nuque, dos à la porte et prête pour une utilisation complète, un
téléphone à portée pour pouvoir Me répondre.
tu Me conduiras ensuite chez un candidat qui a pris une chambre ailleurs : tu passeras ta journée avec Moi,
et tu te consacreras corps et âme à Mon bien-être, à l'exclusion de toute autre préoccupation.
Maîtresse"
Toutes affaires cessantes j'ai appelé pour louer cette chambre qui aurait pu être au Ritz, que je l'aurai quand même prise (même s'il m'avait fallu m'endetter pour ça)!
Le lendemain matin, j'ai donc mis mes plus beaux atours
et j'ai patiemment attendu, comme le chien que je suis désormais pour Maîtresse.
Je retiens trois moments particulièrement forts lors de cette journée :
Le premier a d'abord été quand Maîtresse, excédée par ma cagoule qui s'ajustait mal, m'a coiffé la tête d'une autre cagoule, en cuir, très serrée et très ajustée, et qui ne comportait qu'un petit orifice buccal. J'ai ensuite eu à lécher longuement son cul de Déesse pendant qu'Elle se maquillait et se préparait, prenant tout son temps et Me repositionnant à loisir pour Son plaisir. Cela est rapidement devenu totalement magique : à genoux, dans le noir total je ne me suis plus senti que langue au service de ma Divine Maîtresse. Cela a été une sensation extraordinaire : incapable de penser, d'imaginer,d'envisager quoique ce soit en dehors de la tâche qui m'étais dévolue, je n'étais enfin plus qu'une larve, Son objet sexuel sur pattes!
Le second moment qui m'a marquée a été la rencontre de Maîtresse avec son nouveau candidat. Maîtresse, après s'être préparée, s'est comme à son habitude vêtue intégralement de cuir : pour cette sortie, un body très échancré, bottes, trench très court, gants... Sexy à couper le souffle et ne laissant place à aucune ambiguité quand à Son statut De Dominatrice. Maîtresse m'a permis de la photographier :
En valet, larve, esclave de Madame, je pense que Vous avez deviné que je lui ai évidemment servi aussi de chauffeur particulier.
Je l'ai donc conduite à l'hôtel auquel Elle avait intimé l'ordre à ce candidat de se trouver.
Et là , surprise : le parking était presque totalement occupé de cars et camionnettes de CRS, apparemment inoccupées, mais qui sait...
Maîtresse est pourtant restée totalement froide, sûre d'Elle, et indifférente à cette situation intimidante. Et comme Elle l'avait prévu le candidat a pu démontrer sa motivation sur le parking même.
A quatre pattes, il a longuement et avec ferveur baisé Ses bottes tandis qu'au côté de Maîtresse, un genou à terre, je portait Sa cravache de Mes deux mains offertes. Et Maîtresse n'a pas hésité à faire durer la scène pour Son plaisir...
Croyez le ou non, nous ne nous sommes pas retrouvés en garde à vue. Par contre, le veilleur nous a regardés d'une manière drôle quand nous sommes entrés... : Maîtresse Belle, hautaine et distante, flanquée de deux chiens mâles parfaitement dociles.
Une fois dans la chambre, et après que Maîtresse aie commencé de tester son candidat, le troisième temps fort a été quand Elle nous a donné l'ordre de nous bécoter, (le candidat et moi). Il était moustachu, fumeur et son haleine n'était pas des plus fraîches. Après une très brève hésitation, j'y suis pourtant allée franchement, consciente qu'en tant que putain je n'ai pas de choix, pas d'intimité, et je ne peut exprimer de préférence : peut importe qui m'utilise, homme ou femme, je sais que je n'existe que pour satisfaire parfaitement les désirs et les envies de la personne qui se sert de moi ! Je ne suis qu'un objet au service de Maîtresse, pour qui Elle veut comme Elle le veut.
Après un moment, Maîtresse a eu l'air satisfaite : elle disposait de deux lopes prêtes à tout avilissement pour Elle.
Enfin, je ne vous parle pas de ce temps fort et bon, toujours renouvelé, pendant lequel Maîtresse place son Divin sexe de Dominante dans ma bouche, et que je n'ai plus qu'à la sucer très longuement pour lui procurer du plaisir jusqu'à avaler intégralement Son nectar de Déesse.
Merci, Maîtresse pour le bonheur et l'honneur que Vous m'avez donnée d'être à Vos pieds et à Votre service pendant toute cette journée du 14 octobre.
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Derniers Commentaires