Dimanche 21 décembre
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11:50
Mardi 9 décembre, des circonstances favorables ont fait que j'ai pu me libérer de mon travail.
Maîtresse attentive à ses esclaves m'a alors sonnée pour pouvoir m'avoir à ses pieds et d'après ce que j'ai compris, pouvoir pratiquer un milking
"salvateur" (cela faisait plus de 120 jours que ma petite quéquette n'avait craché son jus!)
Quand je dis UN milking, je devrai dire LE milking puisque c'était le premier pour moi (et par contre certainement pas le dernier...)
Etrange moment dit de libération, où il n'a suffit finalement que de peu de temps et que de quelques actions biens placeés pour provoquer cet
écoulement tant attendu et si peu perçu.
A peine une sorte de résonnance au niveau du méat et puis..fini! Je n'ai pas senti que le sperme s'était écoulé, c'est Maîtresse qui m'en a informé.
Aucune sensation d'éjaculation!
Je ne sais si c'est la maîtrise de Maîtresse, mais je peux en tout cas vous certifier qu'hormis le plaisir intellectuel de se savoir là, à quatre pattes, la croupe
offerte, en train de subir la frustration ultime, il n'y a pas eu de vrai plaisir anal ni de "plaisir prostatique" quand Maîtresse a utilisé l'instrument ah doc (que je n'ai pas vu,
puisque j'ai été cagoulée d'avant l'entrée de Maîtresse à après sa sortie)".
- Oui, je suis restée cagoulée, privée de
vision et de beaucoup de perceptions sonores.
- Oui, il m'a fallu l'attendre la tête encapsulée, à genoux au pied du lit,
le dos à la porte (à l'image du précédent rdv
impromptu)
- Eh, oui, je ne l'ai pas vue!
- Oui, il m'a fallu attendre son appel téléphonique pour me préparer à sa venue, mais aussi pour avoir
l'autorisation de reprendre pied dans ma vie de tous les jours après son départ.
- Oui, Maîtresse m'a utilisée, piétinée, baisée, limé le cul, et a longuement utilisé ma bouche et ma langue. Elle s’est aussi amusée à me voir m’activer sur un vibro, incapable de Lui résister
ou de contenir mes penchants de vagin sur pattes nymphomane. Maîtresse a ensuite appelé au téléphone un correspondant à qui j’ai déclamé, haletante, mon état et ma joie d’être esclave de
Maîtresse Elektra
A la réflexion, je crois que cette séance avait deux objectifs précis pour Maîtresse :
- le premier, et sûrement l'essentiel était de continuer à renforcer mon conditionnement hypnotique
d'esclave corps et âme dévoués ;
- le second, dans le même esprit, de me rappeler que je n'ai désormais plus aucune intimité et ne peut
avoir aucun secret pour Elle (voir l'article Redressement pour fausse déclaration ) .
Dans son souci de ne pas gêner Mon épouse S. par des marques trop voyantes, Maîtresse a choisi la cravache plutôt que le fouet pour me punir.
Rapidement, emportée par ma soif d'être malmenée, j'ai tendue ma croupe en demande de plus de
coups, de plus de douleur. Pour un peu, je demandais moi-même à subir le fouet qu'Elle m'avait épargné!
Au vu des dires de Maîtresse, je pense que j'aurais dû faire montre de plus de mesure. Il
n'est pas certain que les châtiments corporels restent le mode de punition :
"Bonjour tapette,
[...]
Je suis relativement mécontente que tu ne sois pas en mesure de suivre la
liste
que J'ai fixée cette semaine. C'est une faute, qui t'attirera une nouvelle
punition. Punition qui pourrait prendre une forme différente. [...]
Maîtresse"
Moi qui m'apprêtait à être régulièrement désobéissante...
Lots de consolation :
- Maîtresse m'a dit que j'allais bientôt signer mon contrat d'esclavage à vie ;
- En partant Maîtresse a regroupé les objets, masque, perruque et Son esclave pour une prochaine utilisation.
N'ai-je pas une chance sacrée de devenir à jamais esclave corps et âme de Déesse Elektra?
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