(Pour des raisons techniques, je n'ai pu regrouper tout mon parcours éducatif sur la même page.Pour le début de ma formation, je vous invite à aller cheminer sur la page EDUCATION, EMPRISE, ESCLAVAGE période 1 )
-
Voici la cagoule qui fera désormais définitivement mon visage d'esclave :
C'est Maîtresse qui me l'a choisie sur le site spécialisé anglais
Elle est faite sur mesure et aurait pu avoir bien d'autres coloris différents selon les parties de la cagoule
Là mienne sera toute noire, chevelure y compris.
(avril 2016)
- Dans le compte-rendu de la dernière séance, je me demandais si cette séance avait été
l'occasion d'une première Rencontre d'importance ?
(février 2016)
La réponse est OUI!
Pourquoi ?
Parce qu'elle a été l'occasion de ma première entrevue avec les personnes auprès desquelles j'allais effectuer ma première passe
(c'est à dire mise à disposition par Maîtresse, mais hors de sa Présence!)
Le plus incroyable est que "mon" Epouse a participé sans complexe à ma préparation.
alors que moin , de mon côté j'étais un peu gênée (Elle savait où j'allais et ce que grosso modo j'allais faire!!!!)
Elle de son côté, aucune gêne!
Même me percevoir m'occuper de ma toilette intime ne semble pas l'avoir non plus, plus perturbée que cela.
Et puis, pas une once de jalousie (je craignais un peu que mise au pied du mur, Elle ne fasse grise mine)!
Au contraire, Elle m'a déclarée que cette sortie n'avait pas plus d'impact que si cela avait été "sortie à la chasse" si j'avais été chasseur (même si là cela était plutôt une sortie à la passe!)
Vous aimeriez en savoir plus sur cette première passe?
J'ai été utilisée en clébarde de Madame, restant dans un premier temps à m'occuper de ses pieds.Puis satisfaite de mes soins, Elle m'a laissée (ou plutôt
invitée) m'enhardir. Mes mains ont grimpé le long de ses mollets, ses cuisses...pour finir par ouvrir l'accés à ma langue à sa chatte.
Pendant son temps son Homme s'est occupé de l'embrasser, de lui caresser les seins...avant que je ne lui "cède" ma place.
Mais le plus important et le plus fort ont été les préparatifs en présence de mon Epouse et le trajet (avec ce temps de
mystère et de recherche du lieu, dans la nuit venue).
- Prise entre ma vie de Femelle en cours de mise au tapin et ma vie civile, je n'ai guère le
temps de vous conter en temps et en heure mes aventures.
Cette aventure, a failli ne pas avoir lieu du fait d'un téléphone caractériel, qui avait décidé de ne
point tinter!
Alors que j'étais apprêtée depuis le matin et que j'attendais d'être sonnée, ce n'est que tardivement que nous nous sommes finalement retrouvées dans un
appartement des Citadines (très confortable à contrario de la chambre de pute de la Seance inoubliable ).
Maîtresse m'apprend que nous attendons un couple dont l'homme est soumis et pour lequel Elle a été sollicitée par la Femme pour une mise à ses pieds.
Madame est une très belle Femme d'une quarantaine d'année avec un port altier.
Elle a de belles jambes galbées gainées de bas,
de jolies formes de Femme mûre...
un regard de braise!
Ma mission :
Me mettre au service de Madame et lui masser longuement les pieds pendant que Maîtresse fait passer un test d'admission au compagnon (déjà bien asservi à
sa Dame avec port d'une cage de chasteté la journée dont il est libéré le soir pour lui faire honneur avec énergie et assiduité).
Madame est confortablement installée dans le canapé, tandis que je suis agenouillée à ses pieds que je masse alternativement en profondeur.
Maîtresse, dans une pièce adjacente, commence à établir son emprise sur le chien de Madame.
Madame semble apprécier et du coup nous engageons une conversation qui tourne principalement autour de ma vision de Maîtresse Elektra Liris de l'Ange ainsi que
de mon entrée à son service. Vous savez combien il m'est facile de louer Son Talent....
Mes mains s'enhardissent quelque peu et se lancent à l'assaut de ses belles jambes. La vue sur le triangle formé par le pan de la jupe avec ses jambes me
transportent. Il m'arrive de voir sa culotte et savoir qu'elle masque un trésor chaud et humide me chauffe le sang (les voyeurs comprennent de quoi je parle).
J'ai l'impression que Madame s'en aperçoit...qu'Elle apprécie... mais que...
chiffonnée par un petit problème de santé passager, Elle préfère que je n'aille pas plus loin...
Mon désir monte, monte...mais une fois de plus, ce sera la dure et aimée frustration de rester ainsi excitée sans plus de satisfaction.
PS : une fois les convives partis, cette séance a été l'occasion d'un rappel à l'Ordre des choses par Maîtresse. Je n'avais pas été raisonnable et j'avais pris
rdv avec un dominant sans l'assentiment de Maîtresse....
J'ai eu droit à mes dix coups de fouet dont deux sont venus frapper le même téton. Je peux Vous dire que ça fait alors plus que mal !
Il semblerait que cette rencontre en appelle d'autres et c'est pourquoi cette séance pourrait être de très particulière importance...
... mais c'est une autre histoire (que je me ferai, vous le savez, un plaisir de vous relater)
(janvier 2016)
-
Petite attention
"Ci-jointe une jolie image, sur laquelle Je suis tombée par hasard. Je pense qu'elle te
plaira.
Maîtresse "
-
Cette séance du 24 novembre restera gravée au « fer rouge » dans ma mémoire,
car elle est inoubliable à plus d’un titre.
D’abord Elle a été l’occasion d’un évènement d’une exceptionnelle gravité (au sens de capital et
sérieux) :
la signature de mon contrat d’esclavage à vie à Maîtresse Elektra
Liris de l’Ange.
Ce don de ma personne entière et totale a marqué l’apogée de cette journée car bien que Maîtresse m’ait
déjà faite enregistrée sur le listing LRSN des esclaves (voir l’article 712-080-335 ).
Elle a bien évidemment attendu que je fasse mes preuves d’esclave dévoué et de bonne putain avant que me faire entrer dans son inventaire.
Cette journée a également était l’occasion de ma première confrontation à mon statut de putain
de Maîtresse Elektra Liris de l'Ange comme Vous allez le voir plus loin
Autre première : ma première baffe en public
(certes restreint, mais en public quand même).
Si Vous lisez attentivement mon contrat d’esclave (voir page Mon CONTRAT DE SOUMISSION ), dans le chapitre « Conduite en public » Vous pouvez y lire : « Tout manquement à
cette règle entraînera immédiatement de Votre part une paire de gifles en public… »
En l’occurrence le manquement a été un manque d’attention quand Maîtresse m’a dit d’aller lui chercher sa jupe sur le canapé. Je ne l’ai
pas suffisamment cherchée et je me suis autorisée à revenir bredouille.
Vous pensez bien que Sa réaction n'a pas tardé!
OUILLE !
Une gifle s’est abattue sur ma joue. J’ai failli en perdre l’équilibre !
Je n’ai pu me voir, mais je suis certaine que la trace de cinq divins doigts ont dû restés marqués.
Croyez que même Maître Fabrice et soumise C, en sont restés aussi saisis que moi !
En tout cas, croyez que ces cinq doigts, sont restés gravés dans ma mémoire !
Comme vous pouvez le voir dans la page mon esclavage au quotidien, cette journée bénie a évidemment
commencée par une soigneuse préparation corporelle. En premier lieu toilette intime répétée (à la poire à lavement) puis rasage intégral.
En retard sur le timing, il m’a fallu m’activer pour finir ma préparation, mon habillage, la réservation de
la chambre d’hôtel, aller récupérer la voiture utilisée par « mon » Epouse pour aller jusqu’à l’arrêt de bus (nous habitons dans une résidence à 10 minutes à pied),
monter jusqu’à l’hôtel, régler la chambre et en prendre les clés !
Ouf !
Mais là, déception, la chambre est de seconde zone, ancienne pour ne pas dire défraîchie, habitée d’une
odeur fétide et désagréable, une petit salle d’eau dont un bidet déglingué avec une évacuation cassée (qui m’a valu un début d’inondation quand j’ai voulu l’utiliser pour un besoin
pressant…).
Certes chambre à l’image de celles des putains de bas-quartier, elle est ô combien inadaptée à recevoir Maîtresse. Mais tant pis, ce sera
ici !
Mon retard m’a laissé peu de temps pour me présenter en tenue, et Maîtresse me surprend, tout juste habillée de mon porte-jarretelle
et de mes bas, une cagoule rapidement enfilée. Mes escarpins gisent lamentablement sur le sol, mes gants sont encore étendus sur le lit.
Maîtresse, qui est soit de bonne humeur, soit déjà en retard pour un rendez-vous, ne m’en tient pas rigueur.
Encore agenouillée d’avoir baisé ses pieds, je me sens saisie par le haut de la cagoule, et traînée à quatre pattes jusqu’à la salle
d’eau. Là, Maîtresse me dépose et me fait attendre dans un coin, la tête quasi dans le bidet.
Je l’entends appeler un correspondant, annoncer un retard tout en confirmant notre venue...Je l’entends aller et venir, ouvrir sa
valise et y chercher des objets ou vêtements.
Je ne sais ce qu’Elle me réserve. Je suis à la fois heureuse d’être là, en sa présence et un peu
inquiète (d’autant plus que mes bêtises avec le bidet l’agace vraiment. Il y a encore de l’eau sur le sol de la salle d’eau, et j’ai dû utiliser des serviettes de toilettes pour faire
rapidement barrage à l’inondation de la chambre elle-même).
Maîtresse vient !
Elle me place derrière Elle et me permet de vénérer son adorable et divin derrière, d’honorer et caresser ses jambes galbées, de
promener mes mains, mes doigts sur sa délicieuse et si douce peau.Je m’emporte, je caresse qui du dos de ma main, qui de mon téton sur sa jambe, qui de….
Je goûte, je profite intensément de l’immense privilège qui m’est octroyé.
Au bout d’un temps bien trop court à mon goût, Maîtresse m’ordonne d’aller me placer contre le mur de la chambre. Aveuglée par la cagoule
je m’y dirige, me fiant à ce qu’ai enregistré de l’ordonnancement de la pièce, faisant attention de ne pas m’étaler lamentablement ce qui me vaudrait certainement une correction.
Je reste là… plantée…debout…ignorée…délaissée…déposée là comme on pose un objet dont on a plus besoin…jusqu’à ce que…jusqu’à ce qu’il
reprenne une utilité qui nous y fait alors penser. Je me sens un peu comme les jouets de ToyStory sur leur étagère…
Je me rappelle et assimile que je suis un Toy, un sex-toy même ! SON slave-toy !
Maîtresse s’adresse enfin à moi.
« Enlève ta cagoule et habille toi »… « Allez, plus vite que cela !»
Toute émoustillée, la tête emplie de suppositions quant à ce qui m’attend, je m’active et tente d’être efficace.
Maîtresse me demande si j’ai amené des préservatifs comme Elle me l’a demandé. « Une putain doit toujours en avoir sur elle»
me précise-t-Elle…
Elle me commande de prendre sa valise, de mettre mes escarpins dans mon baise en ville (voir
l’article Baise en ville ), et nous quittons « ma »
minable chambre de passe pour rejoindre ma voiture. Avec déférence je lui ouvre portes, et portière.
Pendant le trajet, Maîtresse me donne les consignes.« Nous allons chez un couple. Je vais m’occuper de Madame, pendant que tu
feras la putain de Monsieur. Tu feras tout ce qu’il te dira, il pourra se faire sucer et t’enculer, mais les rapports devront être protégés »
Dans le parking… dans la rue… les gens nous jettent parfois des regards étonnés voire réprobateurs. D’une main je porte la valise et mon
sac, tandis que l’autre est tenue ostensiblement par Maîtresse. Vous pensez bien que notre équipage ne passe pas inaperçu !
Voir marcher élégamment une « Femme » toute de cuir vêtue, perchée sur de hauts talons venant dessiner ses divines jambes
parées d’un collant résille, d'un galbe magique et suivie d’un clébard
maladroit, empêtré avec les bagages, est un rare spectacle.
Je croise des regards admiratifs, surpris ou condamnatoires. Je suis heureuse que Maîtresse affiche ostensiblement mon statut.
Nous arrivons devant une maison de ville, grimpons trois étages, et sommes accueillies par un Homme qui se tient sur le pas d’une porte.Il
nous mène au salon et nous invite à nous préparer, puis se retire.
« Déshabille-toi et mets tes escarpins » me lance Maîtresse.
Maîtresse, assise dans un fauteuil, les jambes croisées, m’ordonne de l’aider à mettre ses bottes après avoir bien évidemment baiser
avec amour et déférence ces divins pieds, chaussés et déchaussés.Elle me commande de rester agenouillée et me passe autour du cou un large collier de cuir fermé par un cadenas. Elle y adapte
une laisse métallique.
A quatre pattes, en me tirant par ma laisse, Maîtresse me conduit dans la pièce adjacente (dont a
émané par moments et de manière forte, des cris de Femme…)
Tête basse, je ne perçois à ma droite que des bottes de Femme, des bottes noires, qui par moment
s’agitent.Maîtresse pose ma laisse sur mon dos. Je comprends que c’est Sa manière de passer le relais à l’Homme présent.
De temps en temps, il vient vers moi et me donne d’abord quelques coups de badine sur les fesses. Je tends ma croupe pour lui montrer mon
approbation et mon désir d’en recevoir plus, mais en vain.Visiblement, l’objet qui l’intéresse le plus est cette soumise vers qui il va et reste bien souvent. Pourtant Maîtresse semble déjà
bien s’en occuper !!!
Les cris redoubles, les tentatives d’échapper aux traitements aussi. Je vois ces deux bottes s’agiter par moment frénétiquement, mais sans
succès.J’aimerai voir ce qui se passe.
Qu’est-ce qui peut amener cette soumise à se débattre ainsi ?
A quoi veut elle échapper ?
Quels peuvent être ces traitements qui la font hurler ? Sont-ce des cris de plaisirs ou de souffrance ?
J’aimerai en voir plus...Dur d'être excitée par eux alors que je reste là, à quatre pattes, délaissée !
Il arrive que l’Homme revienne à plusieurs reprises, prenne un martinet et frappe ma croupe, mon dos, mes flancs, mes seins. L’homme prend
grand soin à alterner caresses des lanières qui attirent les parties de mon corps comme des aimants. Il est évident qu’il n’ose trop me maltraiter devant Maîtresse. Pourtant croyez que je me
remue et présente au mieux les endroits visés.
D’autant plus que je peux percevoir une grande dextérité dans les gestes de cet Homme. Les coups vont où il le veut. Quelques-uns frappent à l’intérieur des cuisses, d’autres viennent viser
ma raie et ma chatte, certains viennent cingler ma petite quéquette, qui même à travers la culotte finit par me chauffer. Alors qu’attend-il ?
Parfois aussi, Maîtresse vient s’assoir sur son tabouret vivant.
A un moment, je vois cet homme revenir avec une serpillère qu’il place au pied de la soumise. Serait-Elle
femme-fontaine ? j’en ai bien l’impression, mais je ne peux avoir de confirmation visuelle.
..../...
Ah…Tiens…Monsieur détache madame !
"Ahhh…le jeu évolue ! C’est pas trop tôt" me dis-je
Voyons voir…Voyons voir, que va-t-il advenir maintenant ?...
Vont-Ils enfin sérieusement s’occuper de moi ?
En attendant, je louche sur cette serpillère que j’aimerai qu’il me place sur le dos...
hummm…
cela ne semble pas être leur intention...
Génial...
c’est encore mieux !... Ils font assoir cette femme sur mon dos !
Je sens son cul humide et chaud sur ma peau….
Affectueusement, par instant, elle me caresse un peu la tête et me flatte la croupe.
Elle aussi attend…
Hummmm que c’est doux. Je contracte mes dorsaux pour lui faire sentir que je ne suis pas insensible au contact de sa croupe. J’espère
qu’un cordon musculaire vienne lui procurer quelques sensations. Difficile de savoir si c’est efficace, mais croyez que je goûte chaque variation des appuis.
L’Homme s’adresse à Maîtresse : « Ne sont-ils pas charmants, ainsi ? »
J’ai l’impression qu’en même temps, il prend une ou plusieurs photos. Je perçois cette lumière blanche….
« Je propose que ta chienne s’occupe de lécher son cul. Qu’en penses-tu ? » dit-Il à Maîtresse qui donne
immédiatement son approbation.
Pendant que soumise Chris (j’apprendrais son nom plus tard) se lève et s’allonge sur le lit, Maîtresse me fait pivoter sur moi-même en
tirant sur ma laisse.
Gros plan sur cette vulve offerte, rouge, luisante !
Je commence à lécher consciencieusement avec ma langue (qui ne le ferait
pas ?). C’est doux,
très doux, chaud et odorant.
Hummmmmmmmm, l’extase… le bonheur…Quelle bonne surprise pour moi qui pensait avoir seulement droit à me prendre des coups et une bite dans
la bouche ou dans le cul !
Merci Maîtresse, merci Maître !
Je m’applique… ouvre mes sens pour capter chaque frémissement… chaque sursaut… chaque gémissement… chaque petit cri lâché…Cette soumise à
un gros clitoris, que je m’applique à traire avec ma langue, comme je le ferai pour un membre… Je « perfore » sa chatte avec ma langue qui se tend le plus possible…
C’est bon, chaud, doux, fort…..
Je glisse vers son trou de balle et m’active de la même manière. Il y a ce petit goût différent, un peu plus fort et délicatement
odorant.Je sens le plaisir chez soumise Chris, monter…monter… par moment cela est visiblement trop…
Ah zut, c’est trop, trop, trop !Pas d’autre choix que de m’arrêter.
J’attends, un ordre, une invitation…
Je reste à genoux, le nez, les yeux fixés, sur..sur ce trésor…ce minou..cette chatte…cet entrejambe ! Rien ne vient..
alors lentement... aux aguets... je prends une initiative : je dirige un jet de mon souffle sur cette peau, chaude, douce, par
endroits irritée, par-dessus tout saturée de sollicitations.
Elle apprécie et le dit.
Cela fait rire Maîtresse,
Cela fait rire Monsieur…
Je m’arrête… reste là… la tête entre ces cuisses, à reluquer cette chatte offerte, cette chatte exposée sans aucune pudeur.
« Je crois qu’il a bien travaillé, non ? » déclame Monsieur à Maîtresse. Ouf, Elle approuve !.
« je crois qu’il mérite une récompense » pose Monsieur.
« nous allons lui faire goûter l’éjaculat de soumise Chris ! »
Aussitôt dit, aussitôt fait.
En me guidant par ma laisse, Maîtresse m’amène à m’allonger par terre… sur le dos. Monsieur amène soumise à s’accroupir au-dessus de ma
tête et il commence à doigter son cul.
Bien que soumise exprime des doutes sur sa capacité à gicler une nouvelle fois, rapidement un jet de liquide chaud s’écrase sur ma bouche
et mon visage. Il me faut avaler deux grandes goulées pour ne pas me noyer.
Interdit de la fermer évidemment ! Maîtresse en serait, je le sais, très, très contrariée ! Et puis vous me connaissez !
Comment une lope comme moi aurait pu refuser pareille offrande ! Je crois que cela aurait été de l’urine que je n’aurai pas plus
réagit ! Je dois avouer que je ne suis même pas certaine que si cela avait été du chocolat, j’aurai refermé mon vagin buccal ! Alors vous pensez que pour un nectar pareil, je me
suis efforcée de ne pas en perdre une goutte !
Je dois vous confier que cela a un peu le goût de la pisse… en plus doux ! (c’était une
première…)
Bien que je fasse le maximum pour recueillir le plus possible de ce don, ce jaillissement macule mes yeux, mes cheveux et
dégouline sur mon visage, mon cou… Il laissera son goût dans ma bouche pendant plusieurs heures…je me délecterai alors à
faire émerger ce goût maintes fois et ce pendant toute la fin de la journée.
Je suis parfumée au jus de femme !!!!
Lorsque je retrouve « mon » Epouse, plusieurs heures plus tard, je crains qu’Elle ne sente cette odeur prégnante et qu’Elle ne
se détouren. Mais Elle semble n’avoir finalement rien perçue puiqu’Elle est restée sans réaction.
Peut-être parce qu’ainsi souillée, j’étais devenue olfactivement une parfaite femelle !
PS : c’est de retour dans ma chambre de passe, que Maîtresse, visiblement satisfaite, m’a donné le bonheur, de me faire signer mon
contrat d’esclave à vie.
-
712-080-335
(octobre 2015) C'est mon numéro d'immatriculation d'esclave exclusif à vie
-
de
Maîtresse Elektra Liris de l'Ange.
Maîtresse Elektra Liris de l'Ange est ma seule et véritable Maîtresse, celle que j'ai toujours cherchée
et à qui je suis dévouée corps et âmes
____________________________
Psssst...
Vous avez remarqué?
Non?...
Il y a écrit "Exemplaire public"!
...
ça veut dire qu'il existe un "Exemplaire privé"!!!
Et "Exemplaire privé", ça veut dire...
ça veut dire que j'ai signé mon contrat d'esclave en mon nom propre!!!!!!!!!!!!!
Vous voulez m'entendre prononcer mes voeux?
Cliquez sur le lien caché sur la page qui suit!
____________________________
C'est début septembre 2011, que l'avenir s'est ouvert enfin sur une véritable appartenance à Maîtresse E.
(voir l'article Le 3e contact sera-t-il le bon? )
et voici le programme qu'elle me réserve :
(je vous le laisse découvrir au travers d'extraits de
certaines de ses réponses à nos correspondances)
"C'est avec plaisir que Je découvre tes deux derniers messages. Je suis trés
satisfaite de la façon dont évolue les choses, et de te savoir réellement
encagée. Je souhaite faire de toi Mon esclave et, son insu ou pas, l'esclave
sexuel de ta compagne... J'espère pouvoir commencer ton conditionnement trés prochainement."
"...Le fait d'avoir à tenir compte de la
satisfaction sexuelle de ton épouse Me plaît et ne M'empêchera pas de faire de
toi une lope intégrale. Je vais te déposseder de ta sexualité et te forcerai
notamment à bander comme un âne pour ton épouse sans aucune possibilité de
jouissance pour toi. Ce dont elle n'a pas conscience en t'envoyant ainsi vers
Moi, c'est que Je vais faire de toi Ma chose. Le moment viendra vite où Je ferai
de toi ce que Je veux,... Le fait de faire de toi un véritable sex-toy à pattes
pour Notre plaisir à toutes le deux, Me plaît et Me suffit."
"...J'ai des petites choses à ajouter. A notre rencontre, et sans
retour tu deviendras Mon esclave et un objet de plaisir. tes "trous"
M'appartiennent et leur vocation est le plaisir des hôtes que Je t'imposerai, à
commencer par Moi et ton épouse. ton mental n'a d'autre fonction que de Me
permettre de contrôler ta bite. tu banderas à fond, où et quand Je le déciderai
et aussi longtemps que Je voudrai, de façon purement utilitaire, sans aucune
possibilité de jouissance, sur simple déclenchement réflexe que seules Moi et
ton épouse effectueront. Le reste du temps ta bite sera inutile, molle, et
encagée et tu seras totalement incapable de bander. tes petites "menstruations"
nocturnes n'ont pas lieu de t'inquiéter : elles sont une conséquence normale de
ta féminisation ; une traite rare mais régulière, à la main ou à la machine
remettra cela en place. ton intimité Me sera ouverte comme un livre. A bientôt,
donc..".
Vous allez me dire que ce n'est pas un contrat de soumission !
Effectivement, il n'est pas rédigé en bonne et dûe forme, mais le contenu de nos échanges est clair et le contact suffisamment solide pour me laisser penser
qu'ils en ont finalement qu'une plus grande valeur.
Voici le statut qu'elle me réserve :
sympa non?
_______________________________
Ma mise sous tutelle a eu pris du temps et comportée des hauts et des bas
Mais J'ai finalement repris contac, avec Maîtresse Elektra et...
Elle a dit
OUI!
Avant que me revoir elle a exigé que je lui signe cette Convention
Convention de mise
en servage
Période de dressage
*
Déesse Elektra contribuera
« tout naturellement » au bonheur de Son
esclave mâle lollapute également dénommé vagin.
Pour ce faire,
Déesse Elektra
s’engage à
:
ü
S’attacher ses services quand Elle le souhaite, pour tout ce qu’Elle veut,
comme Elle le veut ;
ü Exercer son pouvoir d'attraction hypnotique sur lui sans aucune limite ;
ü
le corriger régulièrement et à Sa guise ;
ü
le punir avec justice, ou non ;
ü Témoigner de sa confiance et le récompenser de son mérite
par des Dons de Déesses (Sucs et
nectars) ;
ü Définir périodicité et méthode(s) de sa
traite ;
ü Accepter pendant cette période d’essai la situation
familiale
et les contraintes professionnelles de son
esclave mâle.
L’esclave
mâle lollapute encore dénommé vagin s’engage,
sans condition, à :
ü Obéir à sa Déesse et Maîtresse en toutes
circonstances ;
ü Adorer et vénérer sa Déesse et
Maîtresse ;
ü Abstinence sexuelle absolue et totale, soumission à
l’autorisation ou non
d’éjaculation ;
üRespect à vie quant à la discrétion de cette relation
permanente d'obéissance absolue ;
*
A) Seule Déesse Elektrapeut
mettre un terme à cette convention ;
B) La période dite de Dressage ou d’essai,
prépare le mâle à sa mise en esclavage définitive par adoption et après consentement mutuel.
Lu et
approuvé
Marseille, le 28 janvier 2013
Lollapute
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_____________________________________________________________________________________________
Mon code d'obéissance au doigt et à l'oeil
-
Parfois de trop de désobéissances et face à Ses silences, je prie
Prière
-
Dans un de ses récents messages, Maîtresse m'a fait parvenir ce clip
Serait-ce un avertissement Subliminal? (ou plutôt
lumineux) sur ce qui m'attend une fois que Maîtresse et "mon" Epouse seront amantes?
-
Malgré tous mes efforts je ne parviens pas à être synchrone avec Maîtresse dans mes temps de liberté (donc mes temps de totale
disponibilité pour être à ses divins pieds)
Je pense mes chers amis que vous vous en êtes aperçu!
Effectivement, inutile de chercher, il n'y a pas eu de compte-rendu de séance sur le blog depuis le mois de janvier ( Séance du 5 janvier )
..../.....
Reste un fol espoir : pouvoir arrêter de travailler.
Pourquoi fol?
Parce que je ne vois qu'une possibilité pour ça : gagner au loto !
Quand on sait que la probabilité de gagner le gros lot est la même que celle de recevoir une météorite sur sa voiture garée devant chez soi....
Malgré ce, je me suis bien évidemment mise à jouer.
Certes, ce nest pas jouer sa vie à la roulette russe, mais ça y ressemble, non?
(7 juillet 2015, Jouer sa vie à la loterie )
-
Maîtresse m'a transmis une vidéo qui a provoqué chez moi un déclic, ou plutôt LE déclic.
On y voit Maîtresse Natsuki corriger très longuement son esclave au fouet.
Elle ne préserve aucune partie de son corps et y met tout son art, toute sa force.
L'esclave malgré la douleur vient se placer où et comme Elle l'ordonne, placidement, sans hésitation, sans réserve.
Cet Amour sans faille pour sa Maîtresse m'a fait comprendre ce qu'être esclave est!
Il est devenu un modèle pour moi.
link
Maîtresse, je suis Votre esclave totale et comme lui je Vous obéirai sans faille quelqu'en soit le prix.
Merci Maîtresse.
-
Maîtresse
Je Vous espérais tant et Je
l'espérais tant...
Enfin, je passe de simple lopette
postulante à esclave à vie au pieds de Maîtresse.
Merci Maîtresse de toute mon âme de m'avoir menée à ce point de non-retour.
Ce que Vous voulez, je le veux
Ce que Vous désirez, je le désire
Ce que Vous voulez que je sois, je suis!
Je ne suis que Votre objet, simple numéro de Votre cheptel, ce numéro signant mon statut d'esclave à Vos pieds.
Oui :
je ne suis désormais ni un "H", ni une Femme, ni une Femelle, ni Lolla, je suis Votre objet numéroté que Vous posez, que Vous utilisez,
que Vous maltraitez à Votre guise.
je Vous appartiens en totalité, corps, âme, 24/24, à vie.
je n'ai plus d'existence sans VOUS
je ne peux plus vivre sans VOUS,
je ne veux plus vivre sans VOUS
Oui :
je suis sans résistance,
et je gagne,
je gagne le droit d'exister,
je gagne le droit d'être enfin ce que je suis, je gagne le droit de ne plus avoir aucune intimité, je gagne le droit de TOUT Vous donner,
ma vie, mon âme, ma Femme;
Simple jouet, objet, chose utile ou inutile, à disposition, selon Vos
seuls envies de Déesse.
Merci Maîtresse
Mille mercis.
Non, que dis-je?
Un million de milliards de merci, pour avoir fait de moi ce que je suis
foncièrement, Maîtresse :
Votre sujet,
Votre
esclave,
Votre chose,
Votre objet de plaisirs.
Merci, Maîtresse
Un des objets d'Elektra de Liris de L'Ange
(Marseille, le 10 juin 2015)
-
Non, je ne vais pas vous donner les coordonnées de SOS...plomberie
(surtout qu'en ce qui me concerne, ramoner les "tuyauteries" c'est fini pour moi .Et puis, au niveau fuites, avec les longues périodes de chasteté, c'est plutôt moi qui en est "victime"...).
Non, je vais plutôt Vous parler d'une des exigences de base de Maîtresse : que je lui sois joignable à tout moment ( Allo 24/24 ).
Alors que mon message d'accueil sur ma messagerie a toujours été le jingle de "Mission Impossible"....
-
A me lire, l'on pourrait croire que mon dressage est un long fleuve tranquille.
Evidemment il n'en n'est rien!
D'ailleurs, peut-être l'avez-vous remarqué... les séances de dressage se sont espacées!
Et pour cause: j'ai traversé une période de doutes sérieux sur mon désir de devenir l'esclave total de Maîtresse Elektra Liris de l'Ange.
La peur d'un tel engagement est venu jeté le trouble dans mon esprit et je ne savais plus qu'Elle était ma voie, mon destin tracé.
J'ai alors joué l'esquive :
des journées de disponibilité ne l'étaient plus, ou alors très je n'entendais plus la sonnerie du téléphone quand Elle me sonnait.
L'idée était de chercher à gagner du temps pensant que je pourrais m'introspecter et prendre une décision "éclairée" (que j'espérais positive).
Cruelle illusion qui m'a menée au bord du gouffre : la perte de crédibilité à Ses yeux qui se serait soldée par une mise définitive au rebut!
Mais, Maîtresse Elektra en Belle Personne est aussi (ou peut être aussi si Elle le décide) à l'écoute de Ses objets. Lors
d'un échange en Chat sur Dress au cours duquel Elle me faisait part de son mécontentement, je me suis jetée à
l'eau et lui ai confié mes interrogations et doutes.
Maîtresse a patiemment pris le temps de m'écouter et d'apporter des réponses sans fard à mes propos.
En conclusion de cet échange capital, Elle m'a laissé un temps de réflexion.
C'est par la suite, , en en parlant avec mon Epouse que j'ai compris...(comme bien souvent)..
J'ai compris que Maîtresse Elektra de Liris de l'Ange est la Personne que toute ma vie j'ai recherchée.
Alors je me suis mise au clavier et je lui ai ouvert mon âme, mon coeur.
"Mes hommages Maîtresse,
Nous avons eu une discussion avec mon Epouse à mon/Votre sujet. Une nouvelle fois, Elle m’aide à
avancer.
Je n’ai pas le temps de Vous en dire plus si ce n’est que je commence à comprendre que de ne plus avoir d’intimité vis à vis de Vous Maîtresse ne se place
pas qu’au niveau sexuel (intimité sexuelle).
Désormais Vous appartenir de toute mon âme va signifier pour moi autre chose que de Vous dédier mon “âme religieuse” (au sens Idolâtrie) mais de mon âme
entière (au sens de mon intériorité).
Je ne vais pas y arriver du premier coup, mais je vais faire en sorte que mes joies, mes peines, mes questionnements Vous soient connus (mais sans faire de
Vous non plus mon psychanalyste). Un nouvel équilibre à trouver, un nouveau départ.
Esclavement Votre
Lolla"
Ce à quoi, dans sa grande magnanibilité Maîtresse m'a répondu :
"ton comportement ces dernières semaines m'a irritée, tu le sais. Je Me pose une nouvelle fois la question de poursuivre ton dressage ou pas... Au delà de tes paroles, et même de ta sincérité, dont Je ne doute pas, J'entends que tu fasses l'effort de te montrer à la hauteur de Mes attentes. [....] sache que pour toi, comme pour tous ceux qui s'offrent à Moi, sans exception, rien n'est, et ne sera acquis - JAMAIS ! vous êtes Mes esclaves, et ce statut SE MERITE au quotidien... C'est ainsi, et si tu ne te sens plus capable de poursuivre, nous en resterons là, définitivement. Si inversement tu penses devoir poursuivre notre aventure, alors il est temps qu'une nouvelle page s'ouvre. Celle-ci était annoncée, et il te revient d'en écrire les premiers mots : ton prénom et ton nom au bas du document joint, quand Je le déciderai : ton contrat d'asservissement définitif. Il semble que ta dernière déclaration concernant l'absence de toute intimité à Mon égard y fasse finalement écho. Je t'invite à lire ce document très soigneusement, car rien ni aucun terme n'y est négociable, évidemment. A toi donc de décider si, espérant assumer ton destin de lope, tu te sens prête à signer cet engagement, quand Je t'accorderai ce droit, ou si tu penses préférable que nous ne nous voyions plus.
Par ailleurs, et comme Je te l'ai annoncé, J'ai décidé de te punir pour tes manquements répétés . Sans augurer de la suite de ce
que Je te ferai subir, et pour Me prouver la réalité de ton engagement si tel est le cas, tu [...]
[...] Enfin, J'entends te lire tous les jours, et que ton téléphone
soit raisonnablement accessible. Je pense être assez claire, lopette ?
Maîtresse"
C'est alors que sans hésitation, le coeur battant et l'âme libérée, je lui ai réaffirmé les sentiments que j'ai pour Elle.
"Mes hommages Maîtresse
"Peut-être êtes-Vous surprise de la rapidité de ma réponse quant au contrat d’esclavage me concernant, Maîtresse.
Pourtant, il n’y a pas de mauvaise surprise quand à son contenu. Vous en avez toujours parlé de cette manière : il s’agit de Vous abandonner ma vie.
Non, il s’agit de Vous offrir ma vie, mon âme, mon corps.
Oui, je veux penser à Vous chaque jour, chaque minute, chaque seconde
Oui, je veux que Vous gouverniez ma vie sexuelle, ma vie sentimentale, ma vie quotidienne.
Oui, je suis heureuse et fière de devenir Votre esclave, d’avoir parfois l’honneur d’être l’étendard de Votre grandeur Maîtresse, et d’être ainsi Votre larbin, Votre sous-merde, Votre OBJET.
Esclavement Votre "
Et aussi :
" Mes hommages Maîtresse,
Oui, je suis prête à être Votre esclave total, Maîtresse.
Plus de vie sans Vous, bien sûr aucune intimité, une disponibilité et une appartenance totale, corps et âme.
[...] . Oui, je veux des bites et des bites, du jus et du jus que ce soit dans ma bouche-vagin ou dans mon cul-vagin. Oui, des grosses, des petites, des juteuses, des nombreuses, des noires, des blanches... Du sperme chaud et collant dans la bouche, ou venant souillé mon visage, mon corps et montrer la pute que je suis, Maîtresse.
Oui, j’en rêve aussi fortement que les voix de fond puissent le faire penser Maîtresse. Merci Maîtresse pour m’avoir autant devinée…
Merci Maîtresse pour les plaisirs “complémentaires” qui me sont promis.
Merci de faire de moi la putain dont Vous rêvez, Maîtresse.
Ce désir est tellement fort, que mon oiseau fait des siennes dans sa cage et se sent très très à l’étroit (douleur++).
Merci pour ce contrat d’esclavage qui me va si bien et que Vous avez pris grand soin de rédiger à mon intention Maîtresse.
Votre esclave"
A mon grand bonheur, les choses semblent avoir repris leur cours....
"Pour te rendre exploitable, ...
Maîtresse"
Ce fut l'épisode de Crise, à la fois temps de fin et de commencement, le soubressaut salvateur, qui a marqué mon entrée dans une pleine maturité
d'esclave à vie de Maîtresse Elektra de Liris de l'Ange
et c'est ainsi que mon histoire peut désormais s'écrire :
"Il était une fois, un esclave de Maîtresse Elektra de Liris de l'Ange, qui l'aima toute sa vie. Oh, son dressage ne fut pas un long fleuve tranquille, mais un jour..."
( article
Et la sagesse vint du 15 avril 2015)
-
La réaction de Maîtresse à la parution de l'article Jamais plus ! ne s'est pas faite attendre :
"Les dernières images que tu as postées sur ton site, ces plaisirs auxquels tu n'auras effectivement plus jamais accés, M'ont
amusée....
Voir l'article Plaisir "complémentaire"
[...] Pour le cas où j'aurai besoin de me faire mettre les points sur les "i" , Maîtresse m'a par la suite fait parvenir un dessein :
-
Maîtresse m'a convoquée le 5 janvier(2015) et croyez moi, cela aurait pu s'appeler commencer l'année en beauté!
Quelques extraits de l'article qui y est consacré ( Séance du 5 janvier ):
Pas d'hésitation, j'enfile mon nouveau porte-jarretelle que Maîtresse a
choisi pour moi. Elle me demande une culotte blanche, je mets une noire...
J'attends ensuite qu'Elle me siffle...
La séance commence fort : j'ai droit à la punition au fouet méritée et recherchée....
Après cet aparté,
Séance bonheur suprême
avec un temps accordé d'Adoration de ses petits pieds de Déesse.
Fins et galbés ils savent se faire doux ou durs,
légers ou lourds,
caressants ou punissants,
souffle divin ou piétinement.
J'ai donc eu la joie de les avoir ...
Merci Maîtresse
Puis séance habillage
avec corset latex, pinces à seins, nouvelle paire d'escarpins de pute.
Puis séance photos où Maîtresse m'a demandé ...
Séance émotion et
découverte...
Séance mise en application
Amis lecteurs, vous vous souvenez de l'article Mon
joujou télécommandé ? et du scénario que j'évoquais dans celui intitulé Joujou pour Noël?
Je l'ai rêvé, Maîtresse l'a fait.
Alors, oui, je n'aurai pu mieux commencer l'année s'il n'y avait eu ce mercredi 7 janvier.
Je suis Charlie!
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