Maîtresse m'a convoquée le 5 janvier et croyez moi, cela aurait pu s'appeler commencer l'année en beauté!
Je me suis fébrilement et amoureusement préparée.
Pas d'hésitation, j'enfile mon nouveau porte-jarretelle que Maîtresse a
choisi pour moi. Elle me demande une culotte blanche, je mets une noire...
J'attends ensuite qu'Elle me siffle
Nous avons rendez-vous à l'extérieur pour qu'avec mon carrosse je la conduise
à l'hôtel et que de valet je me fasse cocher. Je me rends sur le parking où Maîtresse m'a fixé rendez-vous, et un genou à terre, j'applique amoureusement et en un long baise-main, mes
lèvres d'esclave sur la main gantée qu'Elle me tend dédaigneusement. Maîtresse est sublime en robe de cuir mini, et bottes vernies noires sous Son trench cuir. Après l'avoir conduite à un guichet
où Elle souhaitait Se rendre, je peux enfin L'emmener à l'hôtel où J'ai réservé une chambre pour Son Plaisir.
La séance commence fort : j'ai droit à la punition au fouet méritée et recherchée. Comme vous pouvez le voir sur la
page Mon APPARTENANCE au jour le jour , à la date
du 5 janvier, je n'avais pas mis la culotte que Maîtresse avait demandé justement à cet effet. Cela n'a finalement pas été le motif de cette punition, mais le fouet est quand même venu claquer ma
peau, marquer mon corps, frapper un téton. Douleur à la fois exquise et insupportable; à la fois vénérée, espérée et redoutée. (mon Epouse a remarqué la trace des coups et m'a dit "je
suppose que tu as aimé...")
Après cet aparté,
Séance bonheur suprême avec
un temps accordé d'Adoration de ses petits pieds de Déesse.
Fins et galbés ils savent se faire doux ou durs,
légers ou lourds,
caressants ou punissants,
souffle divin ou piétinement.
J'ai donc eu la joie de les avoir léchés et aimés.
J'ai pu les chausser, les parer, les goûter.
je me souviens de leur parfum
je me souviens avec délices, Maîtresse,
de Vos pieds qui chantent sur le parquet
de Vos pieds qui griffent mon dos,
De Vos pieds qui font frissonner ma peau.
Petits pieds chéris,
petits pieds divins,qui M'écrasent et que j'aiment d'autant
plus,
Petits pieds dont je veux à n'importe quel prix n'être jamais
séparé
pour n'être plus que Votre Piedestal,
Merci Maîtresse
Séance habillage avec corset
latex, pinces à seins, nouvelle paire d'escarpins de pute.
Puis séance photo où Maîtresse m'a demandé de poser, de m'exhiber
méthodiquement debout, de face, de dos, cambrée, assise, les jambes écartées, le cul exposé. J'ai eu le sentiment qu'Elle était en train de faire minutieusement des clichés destinés à illustrer
un catalogue. Peut-être était-ce le cas...Peut-être a-t-Elle besoin de ces clichés pour placer une de ses putains, un de ses objets sexuels pour le louer, le vendre, l'utiliser, le prêter, le
faire bousculer...
Séance émotion et
découverte.
Moment divin où Maîtresse a placé son escarpin sur mon nez et ma bouche.
Quelle inspiration, quel génie Maîtresse! Merci, mille fois merci, Maîtresse pour l'amour que Vous mettez dans mon avilissement.
Expérience inoubliable où j'ai pu humer, que dis-je, respirer, goûter, lécher
à loisir cet escarpin qui a eu l'infinie chance de sentir le pied de Maîtresse le chausser, l'envelopper de cuir, être avec lui dans un contact charnel et intime. Je me suis alors sentis pied, je
n'étais plus qu'une chose captée, capturée, enivrée par l'odeur des Divins Pieds de ma vénérée Maîtresse. J'aurais pu rester ainsi des heures, des jours à humer, lécher le cuir imbibé, marqué,
signé. J'étais devenu un objet, l'objet de Maîtresse, la larve heureuse de n'être plus que ça, un vers tendu vers l'unique but de le/la sentir encore, un ver arborant cet escarpin sur son nez
comme un trophée, une marque d'existence, une marque d'appartenance totale, corps et âme dévoués.
Séance mise en application
Amis lecteurs, vous vous souvenez de l'article Mon joujou
télécommandé ? et du scénario que j'évoquais dans celui intitulé Joujou pour Noël?
Je l'ai rêvé, Maîtresse l'a fait.
Maîtresse l'a fait comme Elle sait et aime le faire :
artistiquement.
Chef d'oeuvre
Acte 1 : le montage avec l'escarpin sur le nez. J'ai apprécié d'être cet
objet, mais cela complique la vision pour lire mode d'emploi et mettre les piles en place, croyez-moi!
Acte 2 : l'essai. ça marche (parfaitement et délicieusement!), mais le corps
trop effilé ne permet pas un automaintien en place
Acte 3 : premier bondage de ma vie avec cordage, noeuds et trajets savants
pour maintenir l'objet.
Acte 4 : rhabillage et sortie dehors.
Nous sortons comme un couple « normal », amoureux, se tenant par la
taille et la main. Je sens à chaque pas ce sexe aller et venir dans ma chatte. L'excitation monte, je halète car j'ai le souffle coupé comme une chienne qui se fait sauter. Présence d'une
résonance au niveau de ma petite quéquette qui gonfle dans sa cage et jute comme jamais. Maîtresse, télécommande de l'objet discrètement en main, attentive à mes réactions, presse par moment le
pas, percevant très bien mon excitation et mon plaisir qui montent comme le ferait l'accélération d'un homme me prenant et mené par le bout de sa queue vers l'accélération synonyme de prochaine
libération paroxystique.
Je suis à "l'agonie", j'ai soif d'encore plus de plaisir et de sensations et
je ne peux m'empêcher de modifier ma marche (petits pas pour plus d'aller et venue, parfois croisement des jambes pour un plus de pression sur la cage), je ne peux contrôler ma respiration et
parfois empêcher l'émission d'un râle de plaisir.
Maîtresse, sûre de son pouvoir, fait durer le plaisir, choisit des zones de
la rue bien éclairée et bien fréquentée, m'oblige à aller demander l'heure à ce passant, . Il faut que je contrôle mon souffle...J'entends le moteur du vibro, dont Maîtresse contrôle la
fréquence à loisir... Que perçoit-il?
A posteriori, je me dis que ce sera encore bien plus difficile quand se
rajoutera quelque chose à laquelle semble tenir Maîtresse : les chocs électriques sur ma petite quéquette (voir l'article Relation électrisée ou électrisante?
Je sens ma petite quéquette mouiller
abondamment et je redoute que sur mon pantalon bleu, n'apparaisse une zone nettement plus foncée. Et en même temps, j'ai envie d'être ainsi exhibée, je veux que les gens sachent à quel point je
suis une salope, j'ai envie de crier mon bonheur de Lui appartenir, j'ai envie de Lui dire/montrer à quel point il n'y a pas de lieu où je ne suis prête à aller avec LA Maîtresse de ma
vie.
Séance devenir avec confirmation de la signature prochaine de mon contrat d'esclave avec inscription au
registre international des esclaves avec attribution d'un SLRN (Slave Registration Number)
De retour à l'hôtel, séance adoration de son joli postérieur gainé d'un collant résille puis dégustation de son
nectar divin.
Alors, oui, je n'aurai pu mieux commencer l'année s'il n'y avait eu ce mercredi 7 janvier.
Je suis Charlie!
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