Au départ cela peut être sympa, mais rapidement cela devient dur de bander dans une cage qui devient du coup trop petite et serrée

Quand on voit comment la verge est comprimée dans sa cage on imagine l'intensité de la  bandaison et la douleur qui vient forcémént avec!

(tout encagé peut  en témoigner)

Alors bénédiction ou supplice?

Vous avez remarqué?

Ces derniers temps je suis peu présente sur mon blog.

Pourquoi?

Parce que je suis entrée dans une période de bouleversements.

Je reste optimiste, et j'espère que cela m'ouvrira de nouveaux horizons...

Bon puisque vous suivez mes "aventures" avec tant d'enthousiasme, voici les faits :

Ces derniers mois, mon Epouse commençait à manifester de plus en plus souvent sa frustration de ne pas avoir un Homme à la maison.

Elle avait envie d'un Homme, un vrai (et on la comprend, non?)

Un Homme, capable de lui donner du plaisir avec son membre tendu de désir et non une lopette qui porte des dessous de tapette, a les ongles de pieds vernis et surtout dont la petite quéquette reste enfermée 24/24 dans sa prison de métal.

J'ai tenté à maintes reprises de lui faire entendre (et très fortement vous pouvez me croire), qu'entre ma baisse de libido liée à l'âge (eh oui, 53 ans, déjà...) et surtout ma féminisation que je ne pourrai plus la satisfaire véritablement et qu'il vaudrait mieux qu' Elle prenne un ou des amants.

Même si à un moment, Elle avait envisagé que nous allions fréquenter les milieux échangistes, Elle s'y est finalement fermement refusée.

Me voir porter la cage, l'exaspérant de plus en plus, je n'ai pas eu d'autre choix que d'y renoncer.

Mais, en bonne cochonne, il m'a été impossible de préserver le peu de vitalité sexuelle que l'abstinence parvient à générer chez moi. Impossible de ne pas me tripoter frénétiquement jusqu'à émission du petit écoulement final. Pensez-vous, cela faisait tellement de temps que je n'y avais pas eu accès!

Evidemment, cela ne m'a  pas permis de parvenir à bander suffisamment pour tenter de contenter mon Epouse.

La situation n'évoluant pas favorablement, la cage me manquant,une idée me vint :

"proposer à mon Epouse que je porte la cage les temps où nous n'étions pas ensemble afin que je ne puisse avoir la possibilité de m'astiquer la quéquette".

Elle a été surprise que je lui en parle de cette manière, mais Elle en a aprouvé l'idée.

Désormais mon premier geste du matin est de mettre ma petite quéquette dans sa cage et le dernier de la journée à lui rendre sa "liberté" afin qu'elle soit prête à (peut-être...) servir , quand Madame vient se coucher.

Reste à voir si cela aura une quelconque utilité....