Mardi 10 décembre
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Dans l'article Dépilation : acte1, scène 1 je vous confiais
ma difficulté à vivre une pilosité importante alors qu'en bonne lopette, je rêve d'
Etre une transexuelle transgenre.
Voici la suite de ce chemin...
Après mon premier essai malheureux c'est avec mon Epouse-propriétaire, que j'ai vraiment remis le couvert et
commencé une lutte régulière contre ma pilosité en maintenant mon pubis et mes fesses imberbes (Cela fait maintenant plusieurs
années).
J'espérais alors trouver une méthode infaillible pour éviter les démangeaisons et les éruptions boutonneuses, en attendant que l'épilation à la cire ne
tienne ses promesses : un affaiblissement des bulbes pileux se traduisant par une absence de repousse.
Ne pouvant déclarer tout de go à mon Epouse-propriétaire que je tenais à m'épiler pour mieux me sentir femelle, j'avais mis en avant le fait que l'on avait
alors plus de sensations lors des rapports sexuels (ce qui est vrai du fait du contact peau à peau au niveau des pubis...
A noter que rapidement Elle a voulu essayer et l'a adopté pour Elle-même...)
Une fois par mois, c'était séance épilation à la maison. Je m'occupais de mes "parties" tandis qu'Elle prenait
le relais pour mes fesses (ce qui était beaucoup plus simple pour moi). Pour le périné, il me fallait m'exposer et bien écarter les jambes. Cela représentait
pour moi un moment particulier de la séance...
A chaque fois, cela nous prenait bien deux heures, mais, cet "exercice" m'a permis
d'affiner une méthode de gestion des effets secondaires de la repousse : gommage au gant de crin lors de la toilette, hydratation de la peau à l'aide de deux crèmes
: biafine le soir et surtout Dexeril le matin (crème qui diminue les frottements car elle contient de l'huile de silicone).
Tenaillée par mon désir féminin, j'ai commencé à aborder le sujet d'une épilation totale avec mon Epouse-propriétaire qui n'y a rien trouvé à
redire (sachant que j'allais avoir besoin d'Elle pour les parties du corps peu accessibles).
Quel travail ce fut!
Une journée entière de labeur pour n'être douce et lisse que quelques jours!
Rapidement, je devenais une véritable râpe à fromage avant que les poils disgracieux ne redeviennent maître de mon épiderme.
Au départ, nous pensions, n'avoir à le faire qu'une fois par mois, il a fallu nous plier à ce rituel tous les 15 jours.
Le comble, était que visiblement, réveillés par ces mauvais traitements, les poils en ressortaient renforcés et prenaient d'assaut des territoires jusque
là plus ou moins épargnés.
A la quatrième ou cinquième fois, d'un commun accord, fatiguées et déçues, nous avons renoncé!
Je tentais de faire contre mauvaise fortune bon coeur et me demandais assez régulièrement comment faisaient toutes ces travesties que je voyais en naviguant sur le
Web.
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