J'ai choisi la deuxième stratégie, et à mon grand étonnement il s'avère que tout serait une élucubration !

(voir  l'article  découverte! )

Dès mon arrivée au travail, et comme nous étions seuls, j'annonce à cette " collègue" de travail que j'ai à lui parler.

Je prends mon courage à deux mains et me lance :

"S., Je veux te parler au sujet d'une réflexion que tu as faite hier.

Voilà, tu as parlé de mes strings et je voulais te confirmer qu'il m'arrive d'en porter
(...si c'est tous les jours, c'est donc "qu'il m'arrive", non?!).

Je tiens à te préciser qu'il s'agit de lingerie masculine et que je trouve inacceptable de laisser penser que je puisse, chez moi, me travestir."

Elle me répond avec aplomb que jamais, au grand jamais, Elle n'avait remarqué que je portais ce genre de dessous.

Bien sûr qu'Elle sait que la lingerie masculine existe et se porte,et d'ailleurs Elle en aurait même acheté à son copain pour la Saint Valentin. Elle me jure les grands dieux que ce qu'Elle a dit hier était une pure déconnade sans fondements!

Je me retrouve finalement plus ou moins obligée de battre en retraite et de parler de quiproquo...

Aurai-je utilisé une lance à incendie pour un feu de paille?

C'est la question que je me pose et dont, à l'extrême, j'espère n'avoir jamais de réponse (car cela voudra alors dire qu'il y avait un feu qui couvait et que c'est un canon à eau dont j'aurai dû user.)

Et vous, qu'en pensez-vous?

PS : Quand à Maîtresse voici ce qu'Elle dit au sujet de cette mésaventure : 

"Je Me suis bien amusée à lire ce qui t'est arrivée au travail. En même temps, Je
suis un peu surprise : tu montres tes strings à  tes collègues ?"

Il a donc fallu que je lui explique qu'en me baissant, logiquement le pantalon découvre mes reins et que du coup... 

Une nouvelle fois ce week-end, je me suis attelée à tenter de convaincre mon Epouse-propriétaire du bien-fondé d'un port de cage permanent (ordonner et gérer par ma Maîtresse).

Jusqu'à présent Elle mettait un veto absolu car Elle redoutait je ne sois mise à jour (par exemple lors d'un accident).

Pour aborder le sujet, j'ai commencé par remettre ma Prison de Morgane.

L'effet escompté c'est produit, mais cette fois ci j'ai enfin trouvé les mots lui permettant de dépasser ses appréhensions.

J'ai centré mon discours sur le fait que si cela advenait, j'étais prête à assumer pleinement être aussi lolla, pétasse en appartenance.

(Ce n'est d'ailleurs plus un mensonge depuis mon entrée au service de Maîtresse Elektra, même si ce n'est encore qu'en tant que novice)

Je me suis empressée de l'annoncer à Maîtresse, qui comme vous vous en doutez a été enchantée de ce résultat (comme vous pouvez le voir ci-dessous)

"Bonsoir pétasse,

Je suis heureuse de ces nouvelles qui Me laissent entrevoir la possibilité de te
faire progresser. Je t'autorise, pour le moment, à porter ta cage uniquement
assurée à l'aide du cadenas dont tu disposes de la clé, jusqu'à notre prochaine
rencontre... Continue à Me tenir au courant."

  C'est ainsi parée que je suis allée travailler aujourd'hui.

(Je sais que ce cliché met malheureusement surtout en valeur mon pelage mais vous pouvez noter que mes ongles sont vernis et donc que ce n'est pas une ancienne photo).

Lors de la dernière (et première...) séance de dressage, j'ai été très agréablement surprise que Maîtresse me fournisse des affaires à mettre (un corset et des bas latex blanc) :

 son dernier courriel est venu m'éclairer :

 
 "... Je souhaite aussi poursuivre ton dressage de salope, et Je suis certaine que cette idée te fait désormais mouiller... En attendant deux jolies photos: une un peu à l'image de Notre couple Maîtresse-esclave tel qu'en ce moment,

...l'autre à l'image de cette jolie créature formatée pour le plaisir que tu es en passe de devenir...