Cela fait trois jours que j'ai débuté mon encagement à demeure et seulement deux que je n'ai pas eu de rapport sexuel avec ma Femme (seule occasion où ma queue serve encore à quelquechose)!

Cette nuit j'ai peu dormi!

Des bandaisons à répétition m'ont éveillée à plusieurs reprises.

Je vous ai déjà décrit le plaisir des bandaisons nocturnes.
Je peux maintenant témoigner que la bandaison est le seul moment où l'encagé éprouve un "plaisir physique", mais c'est un plaisir frustrant et débouchant rapidement sur la douleur (douleur des couilles subissant la pression de l'anneau plaqué par la verge qui pousse tant qu'elle peut et douleur dans le bas-ventre débouchant sur des spasmes intestinaux).
De plus, j'ai l'impression que l'encagement stimule la bandaison, soit parce que la queue comprimée par le conduit amène des sensations particulières, soit par un effet cockring, soit même par une conjonction de ces deux facteurs.

La bandaison nocturne est aussi frutstrante que ma tentative de branlette encagée :

Il faut savoir que l'homme a normalement cinq à sept bandaisons chaque nuit!

 Alors :

• Qu'en est-il de l'homme dont les couilles sont pleines?  
• Je me demande comment font les encagés qui restent jusqu'à un mois sans éjaculation ou milking (je les invite d'ailleurs à témoigner sur mon blog, mais ils ont sûrement d'autres soucis!).

Très excitée par ma nouvelle condition, j'ai déjà un désir fort.
Comment vais-je tenir le coup quand ma Femme décidera de me soumettre à des périodes d'abstinence si au bout de deux jours j'éprouve une frustration forte et quasi permanente?

Il va me falloir avoir les nerfs solides...